Paulina Caspari, Munich
Jeanne Gaigher, Vincent Scheers, Hojeong Lee
Paulina Caspari présente un dialogue entre trois artistes émergents, dont les œuvres ont pour thème principal la bienveillance et l’empathie, et remettent en question les passions du pouvoir, de la compétitivité et du contrôle.
Les situations peintes, dessinées et construites s’efforcent d’aller dans la direction opposée:le Désir de quelque chose de plus fragile, l’opposé d’une peau qui est une barrière solide et confiante est quelque chose qui fonctionne silencieusement, sans bruit, la peau qui fuit, la fragilité, le manque de confiance, une chose ou un corps qui évoque plus d’empathie, qui fonctionne également comme une machine à empathie, le corps qui montre qu’il est plein d’incertitude, toujours en train de négocier, toujours en train d’absorber, montrant son histoire, montrant qu’il est toujours en train de changer. C’est un terrain fertile, capable d’accueillir de nombreuses idées et cultures, il imite un tas de compostage, il est chaotique, il n’est pas fiable, il fuit. C’est lié. Il est lourd, il ne peut pas aller vite, il montre ses entrailles, il est timide
C’est occupé à se désintégrer, ils parlent avec incertitude, Il y a une intimité radicale à cause de la lenteur et de l’ouverture (la nuisance sonore et la certitude c’est comme si on était sourd) du fait d’être chorégraphié.
Cela pourrait paraître violent ou s’intéresser à la mort et au pourrissement, mais ce n’est pas le cas.
Inspiré par l’odeur de l’oignon, par votre allié végétal, par la façon dont les magnolias poussent tranquillement et lance ses racines.
Les peintures ou les objets font preuve d’une nouvelle forme de vitalité.
https://www.paulinacaspari.com