Galerie Jérôme Poggi, Paris
Bady Dalloul, Nikita Kadan, Georges Tony Stoll
À l’occasion du dixième anniversaire de la galerie, Jérôme Poggi a le plaisir de proposer un projet spécial pour la nouvelle édition d’Art-O-Rama. Premier salon auquel la galerie a participé en 2009, nous sommes ravis de revenir à Marseille et de vous présenter un stand faisant écho à la spécificité du programme artistique proposé par la galerie depuis sa création. Par conséquent, trois artistes de différentes générations, nationalités et pratiques seront rassemblés sur notre stand à Art-O-Rama.
BADY DALLOUL (1986, Paris, FR)
Diplômée de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris en 2015, cette jeune artiste d’origine syrienne a rejoint la galerie il y a à peine deux mois. Entre imaginaire et réel, son travail propose une réflexion sur le processus de création d’États et interroge dans une certaine mesure l’écriture de l’histoire à travers une pratique empreinte d’une sincérité candide. Actuellement en résidence au Center for Contemporary Arts of Lagos (NG) proposé par la Fondation Kadist, Body Dalloul tiendra une importante exposition personnelle à la Fondation Darat al Funun à Amman (JO) en septembre prochain.
NIKITA KADAN (1982, Kiev, UA)
Nikita Kadan a rejoint la galerie après l’invitation de Babi Badalov à participer à son exposition solo De More Cry Sea en 2018.
Lauréat du Pinchuk Art Prize en 2011 et du Prix spécial du Future Generation Art Prize en 2014, il participe à de nombreuses biennales, notamment à Busan (2018), Venise (2015, 2013, 2011), Kiev (2017, 2015), Istanbul (2015) et aussi Lyon (2013). Il bénéficie de nombreuses expositions personnelles en Europe, notamment le M HKA d’Anvers en 2018 ou plus récemment le MUMOK (Vienne, AT).
GEORGES TONY STOLL (1955, Marseille, FR).
Originaire de Marseille, Still est l’une des figures uniques de la scène artistique française. Il est peut-être particulièrement reconnu au niveau international pour ses photographies présentées à Arles cet été, mais Stoll a également une pratique de la peinture qu’il n’a jamais cessé de pratiquer. Depuis 2016, il a commencé une série de peintures intitulée
«Paris Abysse» qui compte aujourd’hui près de trois cents tableaux et que le nouveau tableau, différent des précédents par son format réduit, sera présenté sur notre stand devant une vingtaine de ses «tableaux en laine»